Bon voila, je vais (rere)mettre sur pied une petite force EN, donc voici le fluff du patron. Au plaisir de la lecture et de vos commentaires
(EDIT : faire "retour" juste avant la fin du texte, c'est archi badant.... et puis surtout je n'ai pas forcément tout les mots qui reviennent ni les bonnes tournures de phrases pour réécrire....)
La pièce était grande, silencieuse. A son centre, un être de chaire et sang y reposait. La lune artificielle envoyaient ses rayons épouser le corps d'ivoire de notre hôte. Il était encore relativement jeune, il dormait paisiblement, aucunement dérangé par les cris des égorgés au bas de sa fenêtre. Il rêvait d'un avenir glorieux, de fortune, d'honneurs, de victoire; quand soudain, il vît tout ses lauriers brûler, lui, à la tête d'une armée rentrant honteusement à Commorragh, échec après échec, défaite après défaite.
Quelques goûtes de sueur venaient perler son torse, il frémissait. Néanmoins, il restait dans son sommeil, sommeil toutefois peu profond.
La vision de cauchemar qu'il avait eut le fit s'élancer hors de son lieu de repos, tirant par la même occasion son arme. Il empoigna de sa main encore libre la chose qui l'observait. Il la maintenait fermement mais il n'y avait aucun mouvement pour se débattre. Cela ne troubla pas l'eldar qui resta droit et qui ne dit mot. Tout deux était silencieux, tout deux s'observait temps que le permettaient encore les quelques rayons lumineux subsistant. Ce qui dérangeait le vivant était le fait qu'il ne pouvait percevoir le souffle de cette chose.
Il se rappela sa toute première rencontre avec cette chose, étant enfant. Terrorisé, il ne reçut en retour que le mépris de ses parents. Il chercha vainement des solutions, mais non, aucun n'avait souhaité l'aider. Et sa haine germa, lentement.
Les lumières s'allumèrent, et, à la surprise de l'eldar, personne ne se tenait face à lui. Il ne sentait aucunement le contact physique, mais il ressentait encore la présence de la créature. Il resta maître de lui même, il ne bougea point. Les lumières vacillèrent faisant plonger à nouveau a pièce dans la pénombre. Le contact physique reparut.
Il ne savait que faire, quand, il se souvint de cette vieille légende contant que des ombres guidaient parfois les vivants vers des destins exceptionnels ou au contraire, totalement tragique. Il desserra lentement son emprise sur la chose. Tout deux se fixaient, mais aucun d'eux ne lançaient de défis à l'autre.
Alors, l'eldar partit retrouver son rêve qui l'attendait tandis que l'ombre restait là, à l'observer. Il retomba dans cet état de plénitude qu'il avait connu quelques instant auparavant, comme un enfant qui dort paisiblement.
On dit que les hommes sont guidés par leurs rêves, mais lorsque l'ombre d'un cauchemar plane, l'eldar ne peut qu'en sortir plus fort.
A suivre.