Les voleurs d'âmes
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Forum dédié à la faction Drukhari / Eldar noir / Dark Eldar de l'univers de Warhammer 40 000, mais pas seulement !
 
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 [tuto] comment écrire ?

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Dol'Okienthas
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Dol'Okienthas


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MessageSujet: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeSam 14 Fév 2015, 17:52

[TUTO] Comment écrire ?


L'écriture d'une histoire est un exercice auquel bien des personnes se livrent. C'est pourquoi le Flamby se penche sur le sujet, avec sa réputation de bonne plume (dans le derche).


Tout d'abord, qu'est-ce qu'un récit ? Un récit, c'est le cumul des péripéties permettant au héros/protagoniste principal d'accomplir sa quête initiatique (à savoir une pérégrination dont il sortira changé, souvent en bien), ou d'atteindre l'objet de ses désirs, à savoir un artefact cosmique laissé dans une grotte (car Dieu n'a jamais su ranger sa chambre), ou encore sauver une princesse aussi pulpeuse que peu vêtue (ne me demandez pas pourquoi, contentez vous d’admirer l'évolution de la chirurgie plastique au travers des âges !!).

Un bon exemple : les jeux classiques Super Mario Bros.
Vous incarnez Mario, le protagoniste principal (c'est lui que l'on suivra et qui fera bouger les choses), qui doit récupérer sa chère et tendre (l'intrigue à résoudre) capturée une énième fois par Bowser, l’antagoniste principal (c'est lui qui est responsable du rapt de la princesse). Vous traverserez différents mondes, où vous croiserez des protagonistes secondaires (qui vous aideront à avancer dans votre périple, genre Yoshi) et parfois des antagonistes secondaires (des sbires qui tenteront de vous ralentir ; à noter qu'un antagoniste secondaire n'est pas forcément dépendant d'un antagoniste principal : si Jabba le Hutt retient Leïla prisonnière, c'est pas parce que l'empereur Palpatine veut la récupérer en tenue légère !!). Une fois l'objet de vos désirs retrouvé, vous vous souvenez de toutes les contrées visitées, de tout ce que vous avez appris, et vous avez appris/découverts plein de trucs (par exemple que les champignons sont d'excellents hallucinogènes).


Vous noterez que parfois, il peut y avoir des versions différentes. Du genre plusieurs objets désirés, une évolution sociale, plusieurs péripéties, etc. Mais au final, c'est la même chose. Si si !! J'ai une sauce caramel, vos arguments sont invalidés !!

Bon, en fait, si. J'ai bien fait un essai d'histoire sans antagoniste … une petite centaine de page … et je me bats pour le refourguer à un éditeur !! Donc pas bonne idée.


Maintenant que nous avons le plan à suivre, il faut nommer les personnages. A commencer par le duo protagoniste/antagoniste.

Choisir un nom, c'est choisir un destin, un pouvoir, une personnalité et une vie propre. Par exemple, si je vous donne un prénom comme Théodore, il y a fort à parier que vous imaginiez un type à fort caractère. A l'inverse si je vous dit Bob, vous imaginerez un type quelconque, presque passe partout. Maintenant, vous comprenez pourquoi Harry Potter s'appelle ainsi : pas de personnalité propre, donc facilement interchangeable avec le lecteur, qui se retrouve alors gratifié d'une aventure et de pouvoirs fantastiques. A l'inverse, Ron Wilsey et Hermione Granger ont des noms choisis, l'un pour en faire le copain que tout le monde connaît et la seconde pour être facilement identifiable, malgré un nom à consonance neutre (ce qui permettra à son personnage de se développer selon les besoins du récit).

L'antagoniste ne doit pas être en reste. Un nom ou un titre évocateur, voir les deux, est donc fortement préconisé. Konrad Kurze, par exemple (oui, c'est du K.K. !!) peut être mieux écrit sous la forme de Conrad Curse, soit Conrad Malédiction (où Le Maudit). D'ailleurs, la lettre K a une grande connotation maléfique. Quand au titre du personnage, soyez imaginatifs. Le but est de convenir à la personnalité et/ou à l'objet incarné par l'antagoniste. ''Théolyse la Pur'' pour une greluche imbue d'elle-même, ''Fald le Haut Prêtre de l'Aurore'' pour un fanatique ou encore ''Dédé la descente'' pour un ivrogne (tremblez pauvres fous de peu de foie … oui, de foie !!).

Ha, petit détail : qu'on m'explique pourquoi les grands méchants des ''œuvres'' pour jeunesse se placent volontairement dans le cas des méchants … C'est tous des gothiques ? Des sadomasochistes ? Un peu de cohérence, personne ne veut être perçu par la population comme un grand méchant, il faut arrondir les angles !!

Le mode d'action de chacun également doit être étudié. Un antagoniste typé ''intelligence machiavélique'' sera un joueur de dupe et un maître chanteur de génie n'affrontant de face que quand la victoire est assurée. A l'inverse, un gros bourrin tapera inlassablement jusqu'à en crever.

A vous de travailler votre antagoniste en lui donnant une raison d'exister, des moyens de pression, des armes, etc. Car il est le moteur principal de votre récit. Il est celui que le récit doit faire tomber. Sans antagoniste, votre récit tournera dans le vide, à moins que votre histoire ne soit que purement contemplative et non active (comprendre : plus un roman posé et calme plutôt qu'un block-buster à la Mickael Bay).

A nouveau, quelques exemples :
Le Professeur, dans l'Ultime Secret de Toutankhamon (par Christian Jacq). Une entité régnant secrètement sur les communautés scientifiques, gardien de savoirs oubliés, et incarnation parfaite du détournement des hommes envers la science pour l'amusement. A noter que ce type se paye le luxe de remporter la confrontation à même pas un tiers du bouquin, et réussit à nous le faire oublier.

Autre domaine avec le Cardinal de Richelieu, dans Les Trois Mousquetaires de Dumas. Si tu ne vois pas de qui je parle, je viens personnellement te botter le c*l !! Nan, sérieux, ce type a LA classe. Et si t'es pas d'accord, retournes à l'école, mécréante créature !!


Ensuite viendra le protagoniste principal, qui doit faire levier pour vaincre. Soit vous le nommer, et condamner le lecteur à le suivre comme héro, soit vous lui donner un nom passe-partout et le lecteur peut devenir le héro. Et sinon, c'est comme un antagoniste : vous le construisez de manière à incarner une vertu (s'il est un gentil) ou une tragédie (s'il est méchant ; parce qu'un méchant doit être gentil depuis que les Disney n'ont plus le courage de mettre de vrais méchants qui te scotchent à ta Pampers !!)


On a les protagonistes, les antagonistes, le schéma narratif … il reste quoi d'autre ? Ha oui … les personnages secondaires et tertiaires.

Un personnage secondaire est une entité qui n'a aucun réel impact sur la trame scénaristique. Il ne fait qu'en accélérer ou freiner le développement. Ils ne sont presque pas indispensables, ils sont secondaires. Alors pourquoi il y en a tant ? La réponse est simple : le confort !! Tout comme faire cuire un plat ou avoir un bon matelas, utiliser un personnage secondaire ne fait qu'apporter un confort. Il peut servir à apporter un objet, à débloquer une situation ou à mettre du sentiment dans une scène, comme une prostituée bulgare dans un clip de rap ou une James Bond's girl dans un film de l'agent 007. Avoir de bons personnages secondaires est cependant préférable à ne pas en avoir du tout, ou pire, en avoir des mauvais. Rien n'est plus agaçant qu'un personnage secondaire qui ne sert à rien mais qui est quand même mis abusivement en avant : soit tu as une utilité et le récit se focalise sur toi, soit tu n'en as pas et tu n'es pas censé être remarquable par le lecteur. A ne pas confondre avec des personnages tertiaires : eux servent de décors au même titre qu'un platane. Ils apportent de la vie à une scène qui en manquerait cruellement sans. Imaginez-vous une scène de foire sans personne ? Nan. Il faut du tertiaire.


Tu es perdu avec les différents personnages ? Alors on va faire un simple rappel avec exemple. Et comme j'aime raconter n'importe quoi, voici les exemples en nous basant sur un récit : toi, lecteur, tu tentes d'aller rendre une visite nocturne en secret à ta petite amie Alice (en supposant que tu sois un adolescent hétérosexuel, sinon adapte le scénario à ton goût, espèce de minorité !!)


Un protagoniste, c'est un moteur qui a pour mission de surpasser une difficulté incarnée par l'antagoniste pour atteindre sa quête. Dans l'exemple, c'est toi.

Un antagoniste, c'est une difficulté que doit surmonter un protagoniste pour atteindre sa quête. Exemple : les parents d'Alice.

Un personnage secondaire, c'est un personnage qui va accélérer ou ralentir le déroulement de ta quête, en ajoutant ou supprimant une intrigue (une seule, rarement plus. Sinon ils font grève !). Exemple : ton pote Germain qui t'aide a franchir la palissade, ou encore Médor, le chien d'Alice qui aimerait te bouffer la jambe.

Un personnage tertiaire, c'est un décors animé, comme les voisins et les passants que tu as croisé.



Maintenant, ton sujet. Là, je ne vais pas t'apprendre à le faire. Que ce soit par les mécaniques de ton récit ou les thèmes sous-entendus ou encore l'univers dans lequel ça se passe … tu peux tout dire comme ne rien dire. C'est quelque chose d'assez flou, reposant surtout sur la plume de l'auteur et ses propos. Sur le sujet, j'ai rien a dire. Pour l'instant.


Enfin, dernière partie : l'écriture. Et là, c'est la vraie grosse partie du problème : l'école ne vous apprends pas à écrire, ou plutôt à bien écrire. Certes, le style formel, presque formaté, a ses avantages, comme la clarté et l'optimisation des mots (et donc de l'énergie et des ressources), mais bordel !! Si vous saviez à quel point se retenir de partir dans une envolée lyrique est démoralisant.

Herbert illustre bien le problème avec un récit. C'est clair, net, précis ; on sait parfaitement ce qui se passe … mais à quel moment on ressent de l'émotion ? C'est bien simple, c'est aussi émouvant qu'un C.V !! Et il est là le problème : on vous apprend à rédiger des rapports d'administration et pas des histoires. Et pourtant, c'est facile.

La première chose a faire est de trouver votre style. Et là, j'ai pas grand chose à vous dire à part d'écrire et surtout : lire !!

Voici quelques auteurs et l'analyse de leurs styles littéraires (je ne parlerai pas de leurs récits, juste de leur façon d'écrire) :

Paolo Coelho possède un style très léger. Ses phrases sont courtes, concises, précises, et laissent peu de place à l’ambiguïté des propos ou à la question. L'idée de l'auteur s'impose ainsi clairement, nous éclaire sur ce qu'il a voulu dire. De même, ses récits font rarement une place à l'action : c'est calme, détendu, même quand c'est la guerre. Paradoxalement, le ton calme et réfléchit de ses œuvres les raccourcit : moins d'enrobage, moins de digression, chaque phrase est un acte important. Ce qui fait qu'on ne peut tout simplement pas se perdre. C'est facile et compréhensible, souvent joliment formulé, parfois avec un peu d'humour, bref, c'est léger. Un peu comme un petit macaroni.

Alexandre Dumas, lui, fait dans le rallongement à outrance. Tout est précis, détaillé, et chorégraphié afin de prendre le plus de place possible. Cela peut s'expliquer qu'à l'époque, il était payé au nombre de lettre … Cependant, cela ne veut pas dire que c'est mauvais ou illisible, au contraire. Le lecteur se retrouve dans un ballet où chaque mouvement et chaque description est soigneusement étudié pour être aussi fluide que possible tout en prenant son temps. Et ça se voit : Les 3 Mousquetaires ne tiendrait pas sur autant de page si un autre s'en était occupé. Rien qu’en virant les descriptions inutiles, on enlève une vingtaine de page !! Puis virons les adjectifs superflus, les passages bien trop détaillés et tout ce qui n'est pas utile au récit … bah ça ne laisse clairement pas grand chose. Et pourtant, ça se lit bien !! Pourquoi ? Parce que c'est fluide, clair, le lecteur ne se perd jamais, et y trouve un certain confort.

Finissons avec Zola. Et autant à ma sortie du collège, j'étais récalcitrant, autant depuis que j'ai compris comment fonctionnait le style de son écriture, j'en suis dingue. Imaginez un peu : chaque passage est écrit de manière à donner au lecteur la sensation nécessaire pour comprendre l’œuvre. L'Assommoir vous assomme ? C'est normal : le récit est juste horrible, terrible, et déprimant. Les personnages plongent presque dans la démence et la folie sans s'en rendre compte, sinon trop tard. Les phrases sont longues, pénibles, la mise en page n'arrange rien (où c'est que mon édition est catastrophique) … et plusieurs fois on pense à arrêter. On veut s'en détourner, l'oublier. Si on le lit, on devient un tantinet morose, amorphe, pendant que le livre nous endort presque. Et c'est normal, c'est voulu !! Ensuite, Germinal … tout de suite, c'est plus fluide, c'est plus simple, c'est mieux pensé. Normal, Étienne Lantier, le protagoniste, est très loin d'être bête. Le récit se cale alors pour nous faire percevoir la misère et la déchéance avec clarté. Et ça, c'est juste génial qu'un auteur mette le style de l'écriture au service de son histoire !!
Ou alors c'est parce qu'en 8 ans, Zola a bien amélioré son style … et par conséquent je raconte n'importe quoi et passe pour un simplet … j'assume !!


Vous l'aurez compris : la fluidité est importante. Elle aide le lecteur à ne pas décrocher, et pourvu que tout soit fluide, vous n'avez qu'a assurer une histoire intéressante.

Mais qu'est-ce que la fluidité ? Et bah c'est bien simple : …



Bah mince, j'arrive pas à l'exprimer … Ni à le démontrer … heu …

Bah c'est ce qui fait qu'un texte de loi (ou un mode d'emploi de chez Ikea) est moins facile à lire qu'une émission de Cauet malgré le fait que le premier soit largement plus réfléchi (je vous mets au défi de me trouver un contre exemple !!).


Et puis le rythme … je pense que c'est quelque chose de naturel et instinctif, mais un petit rappel ne devrait pas vous faire de mal …

De prime abord, sachez que le rythme est un exercice littéraire au service de la narration. Un rythme soutenu permet d'accentuer la vitesse ou l'état instable ou particulièrement mouvementé d'une scène. À l'inverse, un rythme calme et reposé donnera à la scène un caractère apaisé et serein (encore que … ça peut aussi être utile pour générer de l'angoisse). Pour cela, les procédés sont légions : des phrases à rallonge où très courtes, nominales ou non, présence de points d'exclamation, d’interrogation, autres, etc. De même, la sonorité est importante : l'utilisation de mots suaves et doucereux donne un caractère très posé, voir intimiste. A l'inverse, des mots cassants, agressifs vont clairement illustrer des tensions. Démonstration

Pour le doux : « Sous son sourire séraphique se cachait une âme doucereuse » plutôt que « il a une dent en moins le laideron » … pardon « Avec ses dents blanches, elle avait l'air d'une ange »
Pour le tendu : « Crissant cruellement à chaque enjambées, l'incompréhensible gravier corrompait le silence salvateur » plutôt que « Josiane, tu fais plus de bruit qu'un troupeau d'éléphant obèses piétinant des œufs d'autruche »

[la direction s'excuse pour ces exemples peu inspirés]


Et pour plus d'effets, je vais vous aider un peu : culture cinématographique !! (bien que presque nulle dans ma part).

2001 l'Odyssée de l'Espace est très calme, lent. Ses plans sont pour la plupart long, fixe, et montrent que peu d'action en même temps, voir qu'une seule action parfois sur tout un plan. Ils s'étirent presque inutilement. Bref : si c'était pas aussi captivant, on s'emmerderait.

Expandable. Petit jeu : trouvez moi un plan fixe (où la caméra ne bouge pas !!) qui dure plus de 20 secondes où une seule action se passe. Vous avez ? Bah moi non plus !!



Voilà voilà … On récapitule depuis le début ?

Avant la rédaction, définissez vos personnages (primaires, secondaires, tertiaires ; antagoniste, protagoniste), puis la trame scénaristique selon vos souhaits. Ensuite, lors de la rédactions, essayez d'être le plus fluide possible, en favorisant la sonorité et la rythmique de vos phrases plutôt que votre manque de vocabulaire. La langue française est juste immense, profitez-en (et pensez à ceux qui traduisent … c'est ignoble !!). Si un texte est fluide, rythmé, et possède des propos intéressants, c'est gagné.

Bien, maintenant, je vous laisse, j'ai une quête initiatique à finir au plus vite !!
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeSam 14 Fév 2015, 19:11

Le petit Stendhal illustré par l'exemple, bravo Dol' Cool
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 11:40

Vanité quand tu nous tiens ...
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 12:25

Oui, j'ai fait pêter le sur-moi sur le coup, j'avoues (pour au final raconter pas mal de connerie ^^)
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 12:27

Wouch...je viens de lire un fluff écrit par une nouvelle joueuse "khorneuse" qui pourtant ne connait l'univers 40K que depuis peu, ca envoie du bois...meme si ca ne concerne pas directement les EN, je pense que ce serait de bon ton de le publier ici.
Ami Catsupilami, toi qui sais de qui je parle, si tu lis ces lignes, suggéres-lui de publier son superbe fluff chaotique ici, ca va plaire á beaucoup, et Dol' se sentira moins seul en tant que créateur fluffique Wink
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 13:05

Pas de soucis, on aime bien mélanger les races ici (au sens propre comme au figuré d'ailleurs ... ^^)
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 13:27

Je pose la question á l'auteure Wink
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 16:03

Avec la permission de l'auteure donc, voici le lien vers son fluff sur le fofo chaoteux, bonne lecture Cool

http://immateriumv2.forumactif.org/t1590-premier-contact#22713
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 16:51

J'adore, que dis-je, je vénère !!

Bon, y'a des passages qui mériteraient une remise en forme pour être plus fluide, mais ça, c'est qu'un gout personnel. Je prend !!
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 16:54

Pas mal hein? je l'avais bien dit ^^
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 20:15

Réponse aux appréciations de Dol' Wink
"Je suis très honorée
Je sais que par moments je suis allée un peu vite ou que je n'ai pas précisé certaines choses, mais c'est pour me laisser une marge de manoeuvre si jamais j'écris d'autres pans de l'histoire de mes choupinous."
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitimeLun 16 Fév 2015, 20:51

Ha, le flou artistique, quelle magnifique invention ^^

(bon, je retourne à mon pitit démon d'amour et mes ninquisiteurs chouquets, j'y arrive pas sur ce passage)
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MessageSujet: Re: [tuto] comment écrire ?   [tuto] comment écrire ? Icon_minitime

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