Forum dédié à la faction Drukhari / Eldar noir / Dark Eldar de l'univers de Warhammer 40 000, mais pas seulement ! |
|
| Le conte de fée! | |
|
+8Nirkham Morathi Dystix Mangeur de bile Dol'Okienthas giamargos Lamenuit Nethek 12 participants | |
Auteur | Message |
---|
Nirkham maître de côterie
Messages : 2512 Date d'inscription : 28/06/2012 Age : 27 Localisation : seine-et-marne
| Sujet: Re: Le conte de fée! Sam 07 Nov 2015, 18:06 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant, vint alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousuent | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Sam 07 Nov 2015, 19:19 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant, vint alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement | |
| | | Nirkham maître de côterie
Messages : 2512 Date d'inscription : 28/06/2012 Age : 27 Localisation : seine-et-marne
| Sujet: Re: Le conte de fée! Sam 07 Nov 2015, 20:03 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant, vint alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Dim 08 Nov 2015, 01:52 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant, vint alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine | |
| | | Herbert West maître des sombres quartiers
Messages : 10993 Date d'inscription : 17/06/2011 Localisation : Franche Comté
| Sujet: Re: Le conte de fée! Dim 08 Nov 2015, 07:03 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Dim 08 Nov 2015, 16:33 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable | |
| | | Lamenuit hiérarque modérateur
Messages : 2771 Date d'inscription : 03/03/2012 Localisation : Tu veux vraiment savoir ?
| Sujet: Re: Le conte de fée! Dim 08 Nov 2015, 22:16 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Dim 08 Nov 2015, 22:27 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement | |
| | | giamargos maître des sombres quartiers
Messages : 2650 Date d'inscription : 20/08/2012 Age : 33
| Sujet: Re: Le conte de fée! Dim 08 Nov 2015, 23:56 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement Révolutionnaire | |
| | | Herbert West maître des sombres quartiers
Messages : 10993 Date d'inscription : 17/06/2011 Localisation : Franche Comté
| Sujet: Re: Le conte de fée! Lun 09 Nov 2015, 03:18 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement Révolutionnaire de | |
| | | Nirkham maître de côterie
Messages : 2512 Date d'inscription : 28/06/2012 Age : 27 Localisation : seine-et-marne
| Sujet: Re: Le conte de fée! Lun 09 Nov 2015, 09:01 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement Révolutionnaire de la | |
| | | Herbert West maître des sombres quartiers
Messages : 10993 Date d'inscription : 17/06/2011 Localisation : Franche Comté
| Sujet: Re: Le conte de fée! Lun 09 Nov 2015, 18:57 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement Révolutionnaire de la glaciale | |
| | | Nirkham maître de côterie
Messages : 2512 Date d'inscription : 28/06/2012 Age : 27 Localisation : seine-et-marne
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 15:38 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement Révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation | |
| | | Dol'Okienthas maître de cabale
Messages : 3187 Date d'inscription : 07/12/2013 Age : 1358 Localisation : Dans le rayons ''frais'' de toutes les grandes surfaces
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 16:14 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive | |
| | | Nirkham maître de côterie
Messages : 2512 Date d'inscription : 28/06/2012 Age : 27 Localisation : seine-et-marne
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 17:12 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 18:55 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors | |
| | | Nethek doyen tourmenteur
Messages : 648 Date d'inscription : 24/07/2014 Age : 36 Localisation : Québec
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 19:03 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 19:25 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette | |
| | | Nethek doyen tourmenteur
Messages : 648 Date d'inscription : 24/07/2014 Age : 36 Localisation : Québec
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 20:14 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette et | |
| | | Dystix maître de cabale
Messages : 3693 Date d'inscription : 11/08/2013 Age : 25 Localisation : Retourne toi… Eheheh
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 20:35 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette et Germaine | |
| | | Herbert West maître des sombres quartiers
Messages : 10993 Date d'inscription : 17/06/2011 Localisation : Franche Comté
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 10 Nov 2015, 20:47 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette et Germaine s'adonnaient | |
| | | Nethek doyen tourmenteur
Messages : 648 Date d'inscription : 24/07/2014 Age : 36 Localisation : Québec
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 24 Nov 2015, 17:33 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette et Germaine s'adonnaient à | |
| | | Nirkham maître de côterie
Messages : 2512 Date d'inscription : 28/06/2012 Age : 27 Localisation : seine-et-marne
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mar 24 Nov 2015, 23:01 | |
| Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.
Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.
Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette et Germaine s'adonnaient à un | |
| | | Morathi maître de cabale
Messages : 5102 Date d'inscription : 03/03/2012 Localisation : Ile de France
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mer 25 Nov 2015, 00:10 | |
| 69? | |
| | | Nethek doyen tourmenteur
Messages : 648 Date d'inscription : 24/07/2014 Age : 36 Localisation : Québec
| Sujet: Re: Le conte de fée! Mer 25 Nov 2015, 02:15 | |
| Mar 10 Nov 2015, 15:47 Il était une fois, des petits ornithorynques qui faisaient des chansons sataniques sur un dromadaire gay. Ils se mangeaient les c***les lorsque l'un d'entre eux sauta en l'air pour découvrir comment voler. Les pélicans en chaleur pensèrent affectueusement que les ornithorynques avaient peur, leurs sens incroyablement développés leur permettaient de faire ployer, sans hématomes, leurs c***lles vers le cosmos.Mais, alors que les engeances putrides s'autocastraient amicalement, les braves pénis du poney unijambiste multicolore s'agitaient, tels des suppositoires suintants... Mal leur en prit que pélicans et truites s'amusent sans moqueries à contempler des bubons. Les licornes mort-vivantes envahissaient le monde merveilleux des ornithorynques mutants qui crachent des chansons nasillardes, avec leurs oreilles d'eldars mal nettoyées. Les licornes nécrophiles se frottaient le museau contre leurs penis suintants de liquide vaisselle parfumé à la lavande provençale.Tout autant qu'auparavant, dans le passé infernal, loin de là, près de cet univers, dans une galaxie lointaine, très lointaine, des milliers de pas dirigés vers les confins de la planète, tournée étrangement du côté, malgré l'inclinaison de l'écliptique astrale, et relativement plate et anticonstitutionnellement dérangée, extrêmement fine dans la partie intime Sud, la planète était sublime. Quand cette fabuleuse Nadine, ambiancée de parfums à différents endroits de son centre gravitationnel situé en Jordanie, car l'ouïe de l'ornithorynque fort développé lui permettait astucieusement de se faire sodomiser sans vaseline ni gravier chantant. Ils vinrent alors fourrer leurs becs profondément dans le c** fraîchement recousu subtilement par Poutine, dans l'incommensurable générosité activement révolutionnaire de la glaciale congolexicomatisation intensive. Mais alors que Yvette et Germaine s'adonnaient à un 69 | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Le conte de fée! | |
| |
| | | | Le conte de fée! | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|