Les voleurs d'âmes
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 Vampire Jdr

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Pazu
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Pazu


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MessageSujet: Vampire Jdr   Vampire Jdr Icon_minitimeJeu 19 Déc 2013, 03:54

On a commencé un petit vampire mais à l'époque de l'antiquité, à Rome. Il y a un livre de règle là dessus mais en anglais... bon après on brode à notre sauce un peu. J'incarne une Lasombras et tiens je vais poster l'histoire que j'avais posé par écrit...

Il y a le background en I puis l'histoire de la quête en II pour ceux que ça intéresse, vous verrez pourquoi je porte ce nom de Pazuzu  Razz


I

Humaine... Qui étais-je ? Ces questions me taraudaient. Je m'appelle Ilithyia, Ilithyia Ruxandra Albedinem, mon dernier nom signifiant : peau blanche. Je suis la Domina de cette maison de gladiateurs. J'étais mariée, encore il y a quelques heures, au Dominus de cette même maison. Je ne l'aimais pas. L'unique chose qui m'attirait chez lui était le pouvoir que je pouvais gagner.  
Que s'était-il passé avant ma naissance en tant que vampire. Qui m'a fait ça ? Comment me suis-je retrouvée dans les égouts, couverte de cendres ? Un incendie ? Un corps brûlé ? Le mien ? Tant de questions restent encore à ce jour sans réponses. Tout n'est qu'un immense jeux de piste que je m'efforce de suivre, et chaque indice me conduit vers celle que j'étais avant l'étreinte. À en juger par mon physique qui demeure le même, je dois avoir la trentaine.
Mon premier souvenir fut le sang de ce patricien s'écoulant dans ma gorge. J'étais en train de boire au cou d'un homme, qui s'affala sur le sol une fois lâché. À en juger par la robe et les bijoux que je portais, je devais être plutôt riche. J'étais dans les souterrains de Rome, couverte de sang et de cendres. Je ressentis une certaine empathie pour cet homme que je venais de vider. Le pauvre gigotait encore, il agonisait. Je me mise alors à le trainer à travers les méandres de ces sombres tunnels. Redoutant que l'on me reproche cet acte, je l'abandonnai vers une sortie que j'empruntai, livré à son triste sort. J'espérais vivement que quelqu'un vienne le secourir. Je me retrouvai aux pieds du Colisée. Bien entendu, je n'avais aucune notion de tous ces noms.
Toute une flopée de questions existentielles me traversèrent l'esprit. Lorsque l'on est amnésique, rien n'est familier, rien n'est naturel. Tout n'est qu'approche spontanée d'un problème. Je m'aperçus, en essayant de paraître discrète aux yeux des passants, que les ombres semblaient me suivre. J’attrapai au vol des chuchotements qui se glissaient dans les ténèbres ; on m'appelait. C'était un gladiateur enfermé dans sa cellule qui me suppliait de le libérer. Alors que je réfléchissais à un moyen de forcer le verrou, ce dernier tomba dans un bruit sourd après avoir reçu un coup d'une sorte de fouet noir sorti de nulle part. Je ne le savais pas encore mais mes pouvoirs étaient déjà présents, or ils ne se manifestaient que par réflexe incontrôlé de ma part. De la même manière, je brisai les chaînes du gladiateur. À grands pas, nous sortîmes tous les deux du Colisée.
Il me conduisit chez l'une de ses maîtresses, la plus influente qu'il connaissait, et sur qui il pouvait compter. Cette dernière tenait une maison de passe. Elle se trouvait être très chaleureuse avec moi, la nouvelle venue que le gladiateur lui présenta. Elle avait une grande renommée et était appréciée des propriétaires de gladiateurs, et pour cause, elle leur fournissait des filles, non seulement pour eux, mais également pour leurs gagne-pain.
Malgré ma condition spéciale, ma beauté fit que je sois enrôlée au sein de cette maison. Le gladiateur qui m'avait conduite ici savait qui j'étais réellement, mais il feignit en racontant que j'étais atteinte d'une maladie spéciale, rare, une maladie de peau désignant ceux qui en sont victime d'enfants de la lune. J'étais en d'autres termes extrêmement sensible au soleil. Cet humain connaissait mieux que la nature des vampires à cette époque. Ce fut par ce biais que je rencontrai mon futur époux.
Au bout de quelques années, mon mari commençait à s'inquiéter de mon état grave. Forcé de ne vivre que la nuit pour être à mes côtés, il finit par mal supporter la chose. Il s'énervait de plus en plus contre moi. Je jouais la comédie, je lui montrais que j'avais peur, alors qu'en réalité je planifiais son assassina. Vint alors cette nuit où le meurtre de mon époux se concrétisa car il devint rapidement extrêmement gênant, voir dangereux. Un gladiateur qui souhaitait avoir une liaison avec moi se chargea de la besogne. Je lui avais promis mille et une choses. Le pauvre homme fut ensuite tué pour son crime avant qu'il n'ait pu avoir sa récompense. Il n'eut le temps de se justifier quant au meurtre qu'il avait commis. Ainsi tout soupçon était écarté.

Cela fait une année entière que je suis l'unique maîtresse de la maison. Encore à ce jour, je ne peux me nourrir sur un humain que s'il m'est entièrement dévoué. Il doit être consentant. C'est sûrement dû au traumatisme de mon éveil. Pourtant je considère les humains comme des animaux. Ils se battent, se trahissent, se manipulent. Ils ont l'incarnation de l'erreur divine. Rajouté à cela le fait que je n'ai jamais trouvé de vampire ayant les mêmes capacités que moi, un vampire du même clan, j'ai de plus en plus la conviction d'être unique ; et mon rôle l'est également : je suis la colère des dieux. On m'a choisi pour punir les humains pour leurs fautes et je le fais en jouant leur propre jeu. Manipulés comme de simples marionnettes, je les pousse à se battre, se trahir.  
En cette année, j'ai tout de même rencontré de nombreux vampires, tous avec de différents pouvoirs, et cela me réconforta dans mon orgueil. Aucun n'avait pas cette conviction qu'était la mienne et qui prouvait bien que je leur étais supérieure. J'ai même organisé une chasse aux vampires dans certaines terres de l'Empire. J'ai conduit l'équipe jusqu'au château d'un certain vampire, choisi pour ses pouvoirs. J'avais prétexté un voyage qui me fit traverser ces mêmes contrées, et la troupe qui m'escortait s'était occupé des chasseurs sur le palier du territoire de ce vampire. Ils les avaient massacrés car ils pensaient que c'étaient les hommes qui avaient tué chacune de leur femme, les imbéciles. Tout ceci afin que ce vampire me façonne un sosie parfait, une humaine qui se déplacerait le jour, pour que je n'aie jamais affaire à ces chasseurs de vampires.

Je trouvai de nouvelles sensations en manipulant les autres tout en leur faisant croire que je les aidais. Les esclaves me voient comme une maitresse correcte et ils me respectent. Je les traite bien en retour car ils sont mes meilleures cartes. Pour eux, je suis une âme charitable. Finalement, ce ne sont que des pions et tout va toujours dans mon sens.  
Il m'arrive d'organiser de petits rendez-vous secrets entre mes gladiateurs et certaines femmes de pouvoir choisies au préalable (les deux sont masqués). Pour celle que je veux manipuler, je ne lui concède pas l'esclave qu'elle a choisi mais celui qui menace sa propre maison. Par pure hasard une autre femme arrive et les surprend pendant l'acte. Évidement, celle qui finit par se moquer finit, à un moment ou à un autre, massacrée par la victime du stratagème. Les femmes ne tiennent jamais leur langue, ce sont de vraies vipères entre elles. Je finis par lui garantir mon silence si celle-ci me rend quelques services ici et là.
Tous ces jeux servent un intérêt politique mais quelques fois, ils sont uniquement mis sur pied afin de découvrir ce passé perdu. Et d'ailleurs, je dois toujours rester vigilante. Des humains me connaissaient en tant qu'humaine. C'est pour cela c'est toujours bon d'avoir un allié dans le camps adverse. Pour moi, en l’occurrence, il s'agissait du sénateur Grachus.


II

Ce fut un soir d'automne que tout débuta. Comme à mon habitude j'avais organisé une autre de mes nombreuses soirées privées et le thème de ce soir-là était les paris. Plusieurs duels à mort entre mes gladiateurs allaient s’enchainer. À l’arrêt du premier combat, un combattant qui m'était totalement inconnu, invité par mon ami Grachus, fit irruption. Mon sosie faisant le discours à ma place, et moi-même caché aux yeux de tous dans la pénombre ambiante, je pus remarquer qu'un invité n'avait, tout comme moi, aucun reflet dans les miroirs disposés autour de l'atrium. C'était une de mes activités préférées d'épier les autres depuis les ombres et ce coup-ci je fus stupéfaite par cette révélation. Surprise pour surprise mon cher Grachus, pensai-je. Sans plus tarder, ma goule s'étant éclipsée, je me fondis dans la foule et filai jusqu'à ce vampire dont le secret était percé, pensant qu'il serait de la même espèce que moi. Enfin peut-être un semblable espérais-je. Je l'abordai en lui demandant, avec toute la politesse et le charme qui étaient miens, s'il avait apprécié le spectacle. Simple introduction, me moquai-je intérieurement, je me fichais pas mal de connaître son avis sur la question. La discussion s'orienta ensuite rapidement sur ce qui l'avait réellement amené ici. Il en vint à m'interroger sur un meurtre caïnite orchestré un an plus tôt. La description correspondait totalement avec la scène de mon éveil en tant que vampire dans les égouts : le cadavre humain, les cendres, une femme... Autrement dit, il me cherchait ! Il me demanda aussi si je connaissais la victime retrouvée (son nom m'est totalement sorti de la tête). Désirant vérifier ses pouvoirs et, par là-même, mettre fin à cette discussion embarrassante, je lui ordonnai de se battre lors ce deuxième combat. C'était l'un de mes pouvoirs, ordonner. Ma voix semblable à celle d'une sirène n'avait fait qu'une bouchée de ce petit vampire et il n'eut d'autre choix que de s'exécuter. Je lui promis de répondre à ses questions s'il sortait vainqueur.
Les paris étaient faits et le combat fut intense, quoique rapide. Les deux individus s'étaient échangé une série de coups puissants qui auraient terrassé un humain conventionnel. Ils étaient blessés et peinaient à poursuivre. Au même instant, ma goule ayant repris ma place, s’installa aux côtés de deux hommes à l'allure distinctes. L'un paraissait être un marchand et l'autre un simple mendiant. Hors ce dernier était un vampire dont le mentor ne m'était pas inconnu, ce qui justifia ma tolérance envers sa présence. Ma goule proposa une coupelle de fruits au marchand mais celui-ci refusa. Lui aussi était un vampire, à n'en pas douter...
Le duel dura jusqu'au moment où l'invité mystérieux de Grachus brandit une sorte de badge et se prétendit appartenir à la légion des morts. Je savais bien qu'il cachait quelque chose et j'étais arrivée à mes fins. Ayant signaler à ma goule de s'éclipser, je me glissai jusqu'à lui et l'incitai, par mon autorité surnaturelle doublée de ma voix enchanteresse, à reprendre le combat et de passer aux choses sérieuses cette fois. Le public voulait du spectacle ! Et spectacle il y eut lorsque les deux combattants utilisèrent leurs disciplines respectives. Celui que je suspectais appartenir à la même caste que moi se retrouva armé de griffes acérées. Finalement il m'était différent, comme tous ceux que j'avais rencontrés jusqu'alors, et l'emprise que j'avais sur lui s'atténuait progressivement. Il finit par comprendre la situation et par déclarer forfait.
Je précisai à Grachus qu'il était entièrement responsable de tout ça et que, par obligation, il prendrait la charge financière de ce combat. Je demandai réparation au nom des invités, ce qui était normal vue la situation. Il était hors de question que ma soirée se transforme en fiasco et que j'en paye les dégâts. Son mystérieux combattant, quant à lui, révéla son identité en baissant son capuchon. L'espagnol était de retour, chuchotèrent la moitié du public. Qui était ce type ? Je n'en avais aucune idée, mais ce n'était pas ça qui allait faire que je m'incline face à un vampire inférieur; ainsi je l'ignorai. En revanche, je lui demandai ce que faisait un légionnaire dans ma demeure, surtout en se faisant passer pour un gladiateur, qui de plus, allait à l'encontre du règlement ds combats. Il répondit brièvement qu'il était en mission. Son but étant de s'infiltrer dans le Colisée pour s'y battre. Je rebondis à nouveau sur ses paroles avec arrogance en lui infligeant une remarque ironique sur le fait qu'un légionnaire, représentant la loi parmi les caïnites, cherchait à s’infiltrer "illégalement" dans le Colisée. Ceci le déstabilisa, j'en étais fière. Sur ces paroles, j'invitai les gens à regagner cordialement la sortie. La soirée était terminée.
Un homme (accompagné d'un vampire à l'apparence de mendiant dont le mentor ne m'étais pas inconnu) me parla alors d'une possible transaction entre nous. C'était d'ailleurs lui qui désirait plus de spectacle lors du fameux combat. Il voulait me vendre des esclaves. Je lui répondis que je serais enchantée d'assister à une démonstration, ici-même, entre trois de ses hommes. Le marché étant conclu et une fois tout le monde parti, je confiai une mission à ma goule : demander les services de chasseurs de vampires lors de la journée qui arrivait. Elle devait se faire passer pour un témoin. Elle prétendrait avoir vu, le soir des combats, un vampire se nourrir sur un homme au milieu de la rue vers la fin de la nuit. Évidement je savais que celui qui enquêtait sur moi allait se nourrir ce soir-là étant donné qu'il avait, tout comme son adversaire, dépensé du sang lors du duel.
La nuit suivante, mon double humain m'annonça qu'elle aurait un entretien avec les chasseurs de vampires le lendemain. Plus tard, je reçus la visite, comme convenue, du marchand d'esclaves, toujours accompagné du même vampire à l'allure de clochard. Il avait fait vite, car il était accompagné par trois hommes enchainés et gardés par deux soldats ainsi que son mentor, le véritable auteur de cette transaction. Cette fois-ci le vampire à l'allure de mendiant semblait en avoir après son "ami" le marchand, ainsi je le congédiai sur le champ. Pas de règlement de compte en ma demeure. Nous pûmes apprécier tranquillement la démonstration et l'état de sa cargaison d'esclaves et je commandai deux hommes supplémentaires ainsi que deux autres de qualité supérieure au fameux mentor. Puis ils s'éclipsèrent, satisfaits de notre marché.
Dans la même nuit, Grachus me confia que l'espagnol était quelqu'un de connu au sein de Rome et que cela pourrait m'être favorable de parler avec lui. Je faisais confiance à Grachus malgré ses idées tordues par moment. Ainsi je les conviai tout deux à venir chez moi la nuit suivante, en précisant avec cynisme que cette fois-ci l'espagnol ne participerait pas aux combats.
À son arrivée, je lui fit directement comprendre que cette mission venait de bien plus haut que lui, et que s'il désirait mes services, il se devait de raconter toute l'histoire. J'acceptai l'offre qu'il me fit pour que je l'aide à s'infiltrer dans le Colisée. Je lui proposai d'être le doctore de mes gladiateurs, pour ainsi se fondre parmi eux. S'il devait combattre en mon nom dans l’arène, il valait mieux que mes hommes le connaissent, ou quelques paroles sur le sujet pourraient être attrapées par des oreilles sournoises. Ensuite, sa nature de vampire ne lui permettait pas d'y combattre en plein jour, c'était un problème mais pas sans solution. Je soumis l'idée d'y participer en hiver, lorsque les jours sont les plus courts de l'année. Les combats commenceraient la journée et se poursuivraient durant la soirée, à l'abri du soleil. Lui rendant ce service, j'empocherais tous ses gains en plus de ses propres paris sur lui-même et les miens. L'ayant vu se battre, ce serait une poule aux œufs d'or dans ce domaine !
Seul bémol, il s'était révélé hier soir. La rumeur sur son retour ne tarderait pas à se propager, me dit-il. Il fallait endiguer cela. Et rien de mieux que de simuler sa mort devant les témoins même de son retour, lui répondis-je. Je devais juste inviter les mêmes hommes que lors de notre première rencontre et trouver un subterfuge crédible.
Je profitai de la situation pour le questionner à propos de son adversaire d'un soir. Il me révéla qu'il faisait parti d'un culte et qu'il était décidé à trouver l'assassin du fameux vampire des égouts et du prêtre humain. Autrement dit, ma première victime et les restes de cendres sur mon corps. J'attendais avec impatience l'entretien qu'aurait ma goule avec les chasseurs de vampires. Je devais vite me débarrasser de ce fouineur. Il me fit part également d'une étrange sensation qu'il avait eu en entrant dans ma demeure. Il crut me reconnaitre, mais la sensation était fugace et ne dura qu'un instant. Il me prit pour la mère de Lucius qui n'était autre que le neveux de l'empereur. Stupéfaite, gardant tout de même une certaine forme de flegme, je fis de l'humour. Ce que je pensais était tout autre. Voilà qui était plus qu'intéressant, et sûrement la raison pour laquelle Grachus m'avait conseillé de m'entretenir avec lui.
Mes invités s'étant éclipsés, je vis tout de suite le moyen de rencontrer Lucius. L'espagnol devait remporter les combats dans l’arène et s'y faire connaitre. Ce ne serait pas bien compliqué vu sa force et sa notoriété. Toutes ses victoires attireraient l’œil des maîtres de Rome. En attendant, j'envoyai un de mes sujets enquêter sur le marchand d'esclaves. C'est toujours bon de connaitre ceux avec qui l'on traite, surtout lorsqu'il s'agit de bonnes affaires. Il y a toujours anguille sous roche.
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MessageSujet: Re: Vampire Jdr   Vampire Jdr Icon_minitimeJeu 19 Déc 2013, 12:30

Désolé, mais j'ai du déplacer le sujet...

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Pazu
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MessageSujet: Re: Vampire Jdr   Vampire Jdr Icon_minitimeJeu 19 Déc 2013, 12:56

Ha oui autant pour moi  Razz
Qui d'ailleurs peut s'écrire "au temps pour moi".

Voilà le dessin pour ceux que ça intéresse.

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MessageSujet: Re: Vampire Jdr   Vampire Jdr Icon_minitime

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