Aller on se lance
(je vais quand même essayer de faire bien).
Donc, comme dit dans mon post sur mon projet long terme (ici :
https://lesvoleursdames.forumgratuit.org/t2739-en-vm-liste-fluff-2k-et-projet-sur-long-terme ) je posterai un fluff. Je m'y mets donc avec enthousiasme
. Ce ne sera pas un fluff décrivant directement l'armée etc, mais plus sous la forme d'un journal d'un détenus. Il n'est pas encore complet, j'éditerai le post quand j'aurai plus de temps (et plus de réseaux ^^).
(bon par contre je m'excuse pour les fautes de frappes et d'othographes
).
12.03.40673, Puk, lieu inconnu.
J'écris ce vieux journal que j'ai trouvé caché dans ma cellule. Il appartenait à un certain Madre, un autre, dans la même situation que moi. Mais d'abords les présentations. Je suis Puk. Comment je suis venus ici ? Aucune idée, aucun souvenirs. Je suis enfermé depuis trois jours dans cette cellule en me demandant quel crime j'avais commis envers Lui. J'entends des cris, des cris de terreurs, des cris, rien que des cris. C'est effroyable, je tremble, je ne sais pas ce qui va m'arriver. J'ai lu le journal. Madre y dit que l'on fair passer des tests médicaux, que les cris sont ceux des autres camarades qui souffrent, et qu'une mort simple et rapide serai la meilleure solution pour sortir de cet enfer.
13.03.40673, Puk, lieu inconnus.
Aujourd'hui on est venus. Moi qui croyais être dans une prison impériale... Quel choc ce fut quand j'apperçus cet homme. Il était simplement habillé d'une tunique blanche et il marchait d'un air hébété. Il n semblait pas réagir aux cris surement qu'il devait être là depuis longtemps. Il était accompagné par deux personnes. Un soldat et un autre qui lui parlait. Cet autre semblait dicter les ordres. J'appris par la suite qu'il s'agit d'une sorte de psy, mais qu'il nous retourne complètement le cerveau. Ça expliquerai pourquoi l'homme n'avait plus aucune réaction.
Pour la première fois j'ai pu sortir et marcher hors de ma cellule. J'ai croisé nombres de personnes, mais aucune n'a pas me donner de renseignements, et pour cause, tous étaient habillés de la même tunique blanche et avaient le même air hébété. Certain se contentait de m'ignorer, d'autre se feappaient la tête contre le mur en hurlant jusqu'à la mort quand je leurs parlais. Des fous, ou des hommes rendus fous.
14.03.40673, Puk, lieu inconnus.
Cinquième jours. Les cris me rendent fous. J'en peux plus. J'ai beau essayer de lutter contre ma peur, mais tout ces hommes me tourmentent. J'ai l'impression qu'ils m'observent constament.
Aujourd'hui j'ai aussi eut la visite du psy. Il voulait tout savoir de moi, surtout ce que je redoutais. Plus il parlait, plus je le sentais s'introduire dans ma tête. C'est une sensation horrible, l'impression de ne plus être soi-même mais de se partager.
15.03.40673, Puk, lieu inconnus.
Après une autre visite du psy tout aussi douloureuse, je fus conduis hors de ma cellule vers l'ouest du complexe. En marchant, j'ai remarqué deux énormes créatures logées dans le mur. Elles semblaient me surveiller, nous surveiller tous autant que nous sommes.
J'ai fais la connaissance du docteur Von Rosark. Apparement il va pouvoir me remettre sur pieds, mais je me sens mal. Il y a encore des tâches de sang sur le sol et sur le mur, comme des éclaboussures. J'ai peur. Cet endroit me terrifie, les cris, le psy, et maintenant ce fou.
16.03.40673, Puk, lieu inconnu.
Dorénavement, dormir est impossible. Les cris sont incessants. Les visites chez le psy sont douloureuses mais aussi des expériences redoutables. Il ne me demande plus rien maintenant, il se contente de me voler mes pensées, mes souvenirs, tout. Mais il me laisse ma peur et mon désespoir. Il m'a dit qu'il faisait ça pour mon bien, que je deviendrait un soldat utile, et j'ai envis de le croire, que tout s'arrête ! Le bloc opératoire aussi devient un lieu fréquent. Et le docteur m'a dit que je serai prêts pour demain. Il m'a donné un tunique blanche comme celle que les hommes qui crient portent. Je sens que mon heure approche, j'ai peur de ne plus être moi....