Et bin j'écris des petits récits de bataille comme celui la qui raconte une de mes bataille les plus épiques
" rapport du soldat elaric, radio de la 3 eme cohorte de l'armée: marteau de cadia"
Nous avancions sans crainte apparente sur cette planète, malgré la végétation nous savions que peu de choses pouvait nous tenir tête mais a ça, on n'y avais pas pensé mais alors pas du tout, on installait le bivouac alors que lioric, le porteur de plasma faisait des blagues sur les orks et que les ratlings tapaient un poker
Sur vigas...non tigas...a moins que ce soit tigos... Fin bref on n'était pas spécialement prêt pour le combat mais en position un minimum défensive, manticores en arrières et les pelotons en avant et 2 leman russ sur les flancs pour boucler la boucle c'est alors qu'il est sorti du bois
- continuez
- un homme ou plutôt ce qu'il en reste, la moitié de la tête arrachée et la cervelle apparente et un liquide vert épais et écœurant sortais de son épaule, un œil en moins , un bras arraché, la jambe écorchée mais il marchait, il avançait vers nous et tomba a mes pied et j'ai pu lire sa pancarte...mais j'ai rien compris... J'ai cru a une mauvaise blague et j'ai crié a la cantonade qu'un petit malin essayait de nous faire fuir, c'est alors que d'un commun accord avec l'équipe de commandement de compagnie on a désigné 30 hommes pour aller déloger cette vermine, on a entendu des cris horribles et on a vu nos hommes sortir du bois alors qu'un être long et rachitique mais rapide comme l'éclair les poursuivait que je reconnu aisément "noukas" seigneur des secrets, il transforma nos hommes en poussière au sens premier sens du terme avec ses gardes et leurs armures blanches je fit le mort quand la lame de l'un d'eux me coupa l'oreille je vit avec horreur des guerriers au vêtements bariolés dansant en attaquant mais un sourir me barra le visage lorsque ils disparurent tous en purée sous les tirs de la manticore...c'est alors que la cabale attaqua, les avions fauchait nos homes alors que les artilleurs firent exploser simultanément les deux manticores
-ne vous arrêtez pas enfin, vos souvenirs sont précieux
Bref j'entendais le commandant de compagnie hurler aux escouades d'armes lourdes d'abbatre les avions ce qu'ils firent étonnamment bien, les deux avions de crasherent violemment, les leman russ donnèrent aussi de la voix et touchèrent au but quand les vaisseaux élancés tombèrent mais n'exploserent pas, l'heure de la contre attaque avait sonnée mais c'est avec horreur que je vit qu'une escouade de guerrier des cabales avaient atteint les quinzes ratlings et les jetaient de leur perchoir sur les rochers avec un sourire malveillant... Enfin, après avoir tamponné mon oreille et l'avoir bandé, je transmit les ordres du commandait de compagnie de tirer sur le voïvode et aucun de nos tir ne toucha!!!! Le voïvode se vengea en tuant le commandant de compagnie alors que je criait qu'un vaisseau en forme de lame approchait seulement quelque chose ne tournait pas rond... Ils ne descendait pas de leur vaisseaux mais explosèrent les deux leman russ d'une traite c'est alors que deux VAB chimères arrivèrent dans un nuage de fumée et débarquèrent la cargaison d'ogryn dans une odeur désagréable et des drôles de cris et d'odeurs corporelles...et a ce moment la 5 êtres ailés et des motojets attaquèrent d'une traite les ogryns en tuant quelques uns mais ces derniers attaquèrent et mangèrent purement et simplement les bestioles ailées mais furent tentassées par les guerriers des cabales, nous étions perdus, je fit le mort en regardans avec effroi les carcasses gigantesques des ogryns pendues et éventrées jetées telles des sacs ou des torchons sur les vaisseaux intacts, c'est alors qu'une chose qui tenait plus du mythe que de la réalité ils examina les corps et vit un garde qui se tortillait, il y plongea les pinces et arracha le cœur du garde et le greffa a froid sur le "patient" qui hurla, je le croyait mort mais il se releva, hébété mais en vie
Je ne sais pas combien de temps je suis resté là mais... C'est une autre équipe de reconnaissance qui m'a trouvé et ramené
- donc vous avez fait le mort?
-euuhhhh oui mais je... Hé mais qu'est-ce que vous faites
-vous avez fait le mort alors que vos camarades se faisaient étriper, voici ce que vous méritez
- attendez monsieur le commissaire ne f....PAN!
-une bonne chose de faire, je vais déclarer cette planète comme perdue"