L'abordage du Pandora

Mais mais mais... ^^

C'est bon j'ai trouvé, il me semblais que c'etait déjà réglé ce petit détail.

Nirkham a effectué 1 lancé(s) d'un d6 :

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Que quel'un le brief, moi j'abandonne.

.... ha ok, perso je suis le mouvement pour ça.

Bon... on va la refaire une 3e fois pour Dol :

=> Giamargos prends le fusil radiant à 27 coups

=> le cabalite sous mes ordres, répondant au doux nom de Yakitori prends le second  à 12 coups

Ca roulle. Vous suivez donc le couloirs sur quelques mètres avant d'être contrain de tourner à droite par un tourant à angle droit. Une ultime explosion se fait entendre et alors que vous tourner, vous tombez nez-à-nez avec quelques bottes et gants calcinés et à moitié désintégrée, et constatés que Lothran donne ses ordres à quatre guerriers en armure dorée, chacun doté de couteau de combats en abondance, de deux pistolets éclateurs et d'un désintégrateur. Et d'un sac, bien entendu, le maître ne s'abaissent pas à récolter lui-même.

Corvus approcha du seigneur Lothran et lui parla.

-A ce que je vois, ça fait la fête aussi par ici, cette vermines humaine est mieux équipé et plus résistante que celle que j’ai déjà vu, mais ça reste de l’humain … ça cri, ça pleur et ça ce démembre assez facilement. Vous nous avez laissé des restes ? Et sinon, pour la suite, vous voulez que l’on vous accompagne ? ou vous souhaitez que nous allions à un endroit précis ?

"J'aime bien garder un oeil sur mes 'convives'. Quand aux restes, vous marchez dessus."

Les quatre guerriers dorés font des vas et vient. Vous constatez qu'ils ont défoncé un mur et qu'ils pillent allègrement la pièce derrière.

Pour la première fois depuis sa rencontre avec Lothran, Crovus commençait à l’apprécier. Bien que cet Eldar noir est une dégaine de nobliau complètement efféminé, il savait ce battre avec un raffinement très explosif, ce qui plaisait de plus en plus à Corvus.

- J’aime votre sens de l’humour mon seigneur, je pense que nous allons bien nous entendre, Si vous souhaitez vraiment avoir vos convives prés de vous, nous allons nous joindre à la petite sauterie. Si vous le permettez seigneur, nous allons nous joindre à vos hommes pour les aider dans leur tâche, si jamais vos sacs ne sont pas assez grand, les nôtres pourrons surement vous aider à transporter ce matériel. Du moins, nous sommes à vos ordres.

J'envoie Yakitori et Worcestershire remplir mon sac. Moi, je monte la garde, dos au mur, et aussi bien du côté des couloirs que du côté des pilleurs et leur maître...

Je m'en vais également prendre de quoi remplir mon sac comme un gros biiiiiip.

Nirkham à juste un peut la flemme pour le JDR en ce moment. ^^'

(bien, je prends mes vacances et on reprends le JDR)

(bon, j'ai mal comprit ce que veut dire Herbert : tu zyeutes à l'interieur de la pièce ou dans le couloir ?)

Nirkham rentre dans la pièce, qui est visiblement en désordre après le passage de 4 éboueurs de chocs. Elle est remplit de matériel informatique étrange, comme des sortes de bloc de donné, de tablettes émiétée et de pas mal de fouilli, reposant sur des plans de travail posé sur des coffres/boites fermée et usées. Une sorte de double-bureau, permettant à deux personnes de travailler l'une face à l'autre, trône au milieu du bordel, des instruments de soudures au plasma (mon dieu, mais c'est préhistorique) étant maintenu en l'air via des bras descendant du plafonds (attention la tête donc). Une porte coulissante, au fond à droite, est fermée. Des échos d'un combat acharné se font entendre.

je zyeute le couloir pendant que mes deux potes vident la pièce ! je fais signe au autres pour leur indiquer la direction du bruit et me met en position de tir en me protégeant derrière la porte. mais je jette tout de même quelques petits coups d'oeuil derrière moi au cas ou ...

Je me tiens à couvert et je tiens en joue la porte fermé.

Corvus imita ses camarades et ce mis en position de tir, prêt à en découdre.

Et dès que mes potos ont finis de looter, ils viennent nous rejoindre : un pour garder l'avant et un autre pour assurer nos arrières (enfin surtout les miens ...)

Un horrible grincement de métal se fait entendre, et les multiples échos d'un épais juron à faire rougir un ork. Dépité, le sbire de Herbert ne peut que constater qu'une immense cloison rigide est entrain de condamner le couloir. Votre retraite n'est pas coupée, mais clairement, votre avancé dans le couloir sera impossible. Par chance, vous n'avez pas choisi de l'emprunter.

Les bruits de combats se taisent lentement, la porte s'ouvre, et un gus blesser entre lentement dans la salle ... avant de vous remarquer, un masque de frayeur se propageant sur toute sa tronche d'humain. Il ne s'attendait pas à vous ... recevoir.

Corvus pointa son arme sur l’humain, un sourire malsain sur le bord des lèvres. Il tourna la tête vers Lothran, attendant une indication sur la marche à suivre

Lothran est entrain d'engueuller ses hommes à propos d'une "incompétence digne de tétraplégiques analphabètes cul-terreux de basse extraction sorti du sol à coup de b*te de singes octosomiques en ruth"; à propos d'une sombre histoire de charges disruptrices non-posées. Pour le coup, tu le trouve vachement vulgaire.

Vous avez donc tout le champs libre pour le flinguer ^^

Attendez, attendez ... il est armé ?

Non, mais il conserve coller contre son torse un drôle de boitier.