Les En sont toujours là, on vous rassure^^

Les derniers Marines se firent tués par les fusils éclateur des derniers reavers qui passaient. Il ne resta plus qu’une vingtaine de terminators qui résistait aux assauts des ailerons affûtés et qui continuaient sans s’arrêter de faire feu, abattant un bon nombre de pilotes.


Les reavers firent un dernier passage avant de s’arrêter à distance. 10 guerrier équipés de longs sabres s’avancèrent tranquillement vers eux, suivis d’une multitude de créatures qui semblaient faites uniquement de chaires atrophiées.
Les terminators qui semblaient ne pas êtres certains de l’issue d’un éventuel combat, essayèrent de se téléporter à bord de la seconde barge. 6 terminators disparurent aussitôt mais le reste ne bougea pas, les eldars noirs approchaient.


-Qu’est ce qui se passe ? Pourquoi on est bloqué ici ?
-Toutes les coordonnées sont bonnes pourtant sergent.

Ce dernier regarda les xenos arriver, essaya de contacter des renforts, mais en vain. Ils étaient bloqués, seuls. Ils ne pouvaient que fuir ou combattre. Un ordre fut lancé et ils s’apprêtèrent tous à recevoir l’assaut. Les eldars noirs accélérèrent le pas et commencèrent à essuyer des tirs soutenu : les incubes essayaient d’éviter les tirs avec difficulté cependant tandis que les grotesques se contentaient d’avancer, recevant les tirs sans s’arrêter malgré quelques-uns qui tombaient morts, s’effondrant sur le sol. Depuis le groupe des terminators, un cri fut lancé « pour l’empereur !!! », ils se mirent à leur tour en mouvement, marchant de plus en plus vite puis se mettant à courir avec leurs armures lourdes qui rendaient le mouvement plus difficile. Ils atteignirent leurs adversaires : ils reçurent les premiers coups. Les klaives transpercèrent leurs armures, non sans difficultés, atteignant les chairs qui se détachaient de part en part. Puis, le temps que les créatures, plus lentes, arrivent à leur tour au combat, de grosses lames aux tranchants grossiers frappèrent à leur tour et ouvrirent les armures comme de vulgaires boîtes de conserves. Ils n’allaient plus tenir encore longtemps, arrivant à peine à se défendre : ils ne tenaient plus qu’avec ce sentiment de rage qu’ils éprouvaient à l’encontre de ces xenos, hérétiques. Seul et gravement atteint, le sergent porta son gantelet énergétique à sa puissance maximale et frappa un dernier coup qui toucha 3 incubes qui s’écroulèrent avec lui sur le sol métallique et froid.


Les eldar noirs étaient enfin seuls, ou presque, sur le vaisseau et pendant encore un court moment, agir comme bon leur semblaient. Les reavers ayant étés jugés trop risqués pour la suite de l’opération qui consistait à fouiller le vaisseau, plusieurs gangs de hellions avaient étés impliqués dans la mission. Avec, évidemment, un énorme récompense à la clé. Une trentaine d’hellions s’élancèrent dans les airs et envahirent les différents couloirs, bientôt suivis par des escouades de cabalites. Le temps que le vaisseau soit fouillé, et que ce qu’ils voulaient soit trouver, un autre groupe devait aller prendre le contrôle de la barge avant qu’une seconde armée de Marines arrive ici. Les eldar noirs se dirigèrent encore une fois vers le pont secondaire, bien décidé à passer la défense installée, avec une force beaucoup plus importante que la première fois. Les terminators furent tués avec le reste de l’escouade tactique, et ils pénétrèrent enfin sur le pont principal du vaisseau, non sans n’avoir subi aucune perte.

Il n’y avait que le maître de la barge, protégé par sa garde d’honneur et le chapelain se tenant à ses côtés. Les eldar noirs se séparèrent de part et d’autre de la porte. Un guerrier entra, en trainant un soldat derrière lui : il avait été torturé et n’avait plus aucune volonté propre, un moyen sadique pour communiquer avec une race inférieure. Le soldat se mit à genou et commença à parler d’une voix étrange :


-Maître, cette barge a été complètement investie. Dès 10 vaisseaux qu’avez sous vos ordres, un seul est venu. Nous ne savons pas où sont les autres, et les moyens de communication et de téléportation sont coupés. Nous sommes seuls.

Le maître se pencha et murmura quelque chose près du chapelain, qui acquiesça.

Le guerrier qui avait amené le prisonnier lui donna un coup de pied dans le dos qu’il lui fit s’étaler par terre, il s’assit sur son dos, prit une dague et la planta dans sa nuque ce qui provoqua une gerbe de sang. Le prisonnier émit un spasme puis redevint immobile en rendant son dernier souffle.


Tout à coup, un clignotant apparu sur le tableau de bord, suivi d’un son grave qui suivait la même cadence. Le maître se précipita d’un bond sur un bouton qu’il enfonça. Le garde et le chapelain sortirent leurs armes et commencèrent à faire tirer leurs bolter. Puis, dans le plafond, des trappes s’ouvrirent et laissèrent descendre des tourelles automatiques qui firent de même. Tous cela créant un effet de surprise parfait : les eldar noirs n’eurent pas le temps de réagir qu’ils reculaient et tombaient au sol sous le feu des Marines.


Après que l’effet de surprise soit passé, les eldar noirs réagirent et arrêtèrent de reculer. Ils avancèrent et au moment d’arriver au contact de leurs adversaires, ils se rendirent compte qu’ils les avaient sous-estimés, mais c’était trop tard : les guerriers surentrainés de l’astartes qui formaient la fameuse garde d’honneur du maître, paraient habilement les coups avec leur lames. Le chapelain, un peu en retrait, continuait de tirer avec son fulgurant et dut bientôt se résoudre à combattre au face à face. Son amulette le protégeai d’un bon nombre d’attaque qui auraient eues raison de lui bien plus tôt, et son arme pénétrait les armures et les chaires facilement, tout en criant « Brûlez et mourrez de la main de l’empereur, hérétiques ! ». Les xenos étaient surpassés, bien que supérieurs en nombre, ils ne pouvaient plus résister et commencèrent de nouveau à reculer, pourtant si près du but. Ils s’écroulèrent un à un jusqu’au dernier qui reçut pour sa part une volée de balle dans sa tête.


-Nous avons repris contact avec les autres vaisseaux, lança le maître, 3 autres barges vont arriver d’un instant à l’autre.
-Ces xenos n’étaient pas seuls, l’impur les a aidés. Nous devons récupérer ce que nous voulons et repartir, maître.
-Attendons les autres et nous purgerons ce vaisseau puis nous lancerons les troupes sur la planète.
-Bien, conclu le chapelain.

Comme prévu, 3 autres barges se matérialisèrent près de celles déjà présentes. Cette fois-ci, ces eldar noirs ne pourraient pas résister. Les moyens de téléportation toujours coupés, les troupes furent installées dans les thunderhawk qui décolèrent et se dirigèrent vers les différents hangars de la barge War Fury (cf. 1ertexte). Ces derniers furent investis et les couloirs furent nettoyés à leur tour. Chaque xenos était abattu, les seules poches d’eldar noirs étaient réduites à néant. Les reavers et les hellions qui tentaient de s’échapper ne pouvaient éviter les rafales de bolter, les guerriers ne pouvaient s’échapper des lance-flammes qui inondait les couloirs d’un feu tellement intense qu’il brulait tous sur son passage. « Rien ne résiste à la colère de l’empereur ». Ce vaisseau était bientôt de nouveau à la merci des Space Marines. Le rapport fut rendu au maître.


-Ils ne sont plus là…il marque une pause avant de demander : est-il en sécurité ?
-Non, répondu le capitaine d’un ton sec…ils l’ont emporté…ils sont sûrement sur la planète à cause d..
-Oui merci je sais, fit le maître en interrompant son interlocuteur, nous devons le récuperer.
-Ces xenos ne sont pas seuls. Ils ont étés aidés et il y en a d’autre encore : un groupe d’ork a été repéré dans la forteresse. Ainsi que la garde, menée par le commissaire Von Schwarz.
-Que font-ils ici ? Ce n’était pas à eux de remplir cette mission. Espérons que ce sera tous. Préparez les vaisseaux, nous lançons l’assaut.

Le capitaine se retira et commença à organiser les troupes. Chaque vaisseau endommagé fut réparé, modules d’atterrissage, thunderhawk…et les soldats embarquèrent.


En premier, une force de frappe rapide devait se déployer rapidement afin de sécuriser la zone. Les modules furent lancés et une fois atterris, les portes s’ouvrirent et les Marines embarqués en sortirent puis se déployèrent, comme prévu. Aucun bruit, rien de suspect : le reste de l’armée atterrit à son tour. Les chars sortirent des soutes, avec les soldats déjà embarqués à l’intérieur, et s’organisèrent. Les troupes avaient été larguées à quelque kilomètre de leur objectif. Une fois les derniers préparatifs terminés, les blindés se mirent en mouvement, bientôt dépassés par des motos scout qui partaient en reconnaissance de terrain.


Ils se dirigeaient vars un lieu précis situé en pleine forêt. Aucun obstacle ne se présentait ce qui rendait les choses encore plus douteuses.


Les transports et les chars s’arrêtèrent brusquement, quelque chose s’approchaient d’eux à grande vitesse par la voie des airs. Enfin un peu d’action ? Au bout d’un bref moment, trois valkyries les survolèrent et se mirent en vol stationnaire un peu plus loin. Ils descendirent peu à peu, finissant par atterrir sur la terre ferme. Les moteurs s’arrêtèrent et les voies d’accès s’ouvrirent permettant aux passagers de débarquer. Plusieurs dizaines de gardes se disposèrent en forme rangée et laissèrent passer un groupe qui semblaient le plus important. Un des land raider se dégagea du convoi et vint à la rencontre des gardes, il s’arrêta à distance et à son tour, laissa débarquer ses occupants. Le capitaine Astartes s’avança et fut le premier à prendre la parole :


-Que faites-vous ici ?

Le sergent de la garde parla à son tour :

-Nous sommes en mission, sous le commandement du commissaire VonSchwarz.
-Ce n’était pas à vous de remplir cette mission ici.
-Nous sommes placés sous le commandement du commissaire Von Schwarz, répéta le sergent.
-Où est le commissaire Von Schwarz ?
-Il est à la forteresse, où nous nous rendons entre autre.
-Que se passe-t-il là bas ?
-Nous avons trouvé des Orks, nous sommes là en renforts, nous ne connaissons pas encore la situation exacte.

Le capitaine mit un terme à leur discussion. Von Schwarz l’avait devancer, comme toujours.


Un hurlement bestial, provenant de la forteresse, se fit entendre. Ils ne savaient pas ce que c’étaient, et ça ne devaient pas être très bon.