Partie niveau 1: Départ en Catastrophe

émergeant de nul part, Devries arriva en vérifiant la charge de son arme "même plus le temps de se repoudrer le nez, Bordel !"

Spoiler:

aaaerrrggghhhh ils sont rapides et puissants je dois me "guérir" si je veux survivre

"C'est a cet heure la que tu arrive, le mercenaire ? Un de nos gars est mort! Bon, prépare toi, délecte toi de la souffrance de Zivilyn si tu veux, mais dans 5 minutes maximum, on lève le camp, compris ?"

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Sans un mot Devries opinia de la tête, mais en son fort intérieur, une voix hurlait : "mais quel pêtes burnes !". il passa à côté du cadavre et en profita pour lui filer un coup de pied et un bon gros glaviot verdâtre au passage "mort aux faibles !"

Immédiatement ensuite, ses sens se mirent en alerte, et il se tint prêt à répondre à toute menace, la crosse de son arme bien câlée contre son épaule et sa main gauche tenant à la fois le canon du fusil et sa dague...

Spoiler:

par ça faute j'ai été blessé je le retiens celui la

"Bon, on dirait que nos forces sont au complet" lance ironiquement l'un des deux gardes du corps, auquel Setz lance un regard mauvais.

"Donc voilà le plan.
Nous sommes séparés de nos raider par plusieurs groupe de chasse Tau.
Nous avons deux choix, les éviter ou les affronter, la discretion reste la priorité pour survivre, des questions ?"

à Zilvin : "t'avais qu'à faire attention ! on est pas venu ici pour beurrer des sandwichs..."

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à Setz : "aucune autre force commorithe sur le chemin ? on aura surement plus de chances de survie si on est plus nombreux, ou si on peut chopper les munitions de collègues qui n'en auront plus besoin..."

j'étais près a lever le camp depuis le début Setz! Pas comme lui avec ça belle gueule

"C'est bon je te paierai un nounours au retour si on survit... arrête donc de pleurnicher, on a plus important à faire."

Spoiler:

A Devries (accompagné d'un regard luisant de provocation): Qu'est ce qu'il y a, on se dégonfle direct parce que l'un des notres est mort et que les autres ont préférés s'abstenir ? Plus sérieusement, nous sommes 6, plus qu'assez pour gérer la menace ou l'éviter. Piller les morts actuels ou a venir est recommandé
-De plus,lança Yzark, nos ennemis se sont éparpillés par petit groupes, les gérer sera plus facile qu'il n't parait.

Sur ce point là au moins je te rejoins dis zivilyn avec un sourire carnassier

Le groupe s'enfonce donc dans la foret .
Après plusieurs minutes de marches, d'un geste silencieux, Yzark ordonne au groupe de monter dans un des arbres a proximiter.

A tous, un test d'initiative

et mer**** !

nota à moi même : pisser sur les cadavres des gars de cette escouade ...

oooo quel dommage que t arrive t-il

Tous montent dans le grand arbre, sauf Devries et l'un des garde du corps(lui aussi a eu un). Yzark leur jette un regard paniqué.
La raison de cet ascension dans le végétal se dessine. Une meute de trois chiens Kroots se apparait.
Setz intime aux guerriers dans l'arbre de ne faire aucun bruit.

A Devries: tir sur les chiens, débrouillez vous seul
A Zivilyn : si ils galère, tente d'en allumer un aussi, au moindre coup foireux, on décampe

je range ma fidèle amie dans mon dos et je récupère mon pistolet éclateur près à m'en servir

je me rapproche de mon collègue qui est tombé, et ouvre le feu sur les chiens en reculant doucement pour me placer derrière lui.

Les chiens se rapprochent !
Heureusement, ils n’aboient pas, et se contente de grogner en bavant.
Le Garde du corps tente de tirer, et abat l'un des molosse.
"A ton tour, crache t il a Devries, allume les!"

Devries, deux possibilitée s'offre a toi
1) tu laisse le garde et refait un test d'initiative
2) tu te bat

je balance autant de tirs que possible, mais garde en tête que dès que les chiens seront trop près, je leur balance le garde devant moi dans la tronche.

les tirs :

Herbert West a effectué 2 lancé(s) d'un d6 :

5 , 3

voilà pour ma première action, je ne sais pas si j'aurai le temps d'utiliser la 2e pour tirer à nouveau, ou si il faut que leur balance le corps tout de suite...

on dirait que ça chauffe pour mon très chère camarade (sourire)